Le cérémonial n’a rassemblé qu’une assistance 
                réduite. Covid oblige. Après le dépôt de gerbes  devant la stèle 
                aux Morts, puis la lecture du message ministériel, le maire 
                Christian Peyron n’en a pas moins énergiquement satisfait au 
                rappel douloureux de ceux qui sont tombés sur le sol algérien, 
                avant l’indépendance proclamée en 1962, puis la reconnaissance 
                officielle du conflit en 1999. L’éloge funèbre s’est conclu par 
                le chant national, mais sans le verre de l’amitié, interdit par 
                la pandémie.  J. P.