Il était naze. Et donc soustrait
        de toute activité pour se refaire une santé.
        Meszigues ne le voyait plus, à l'heure de l'apéro,
        devant le PMU quand j'allais acheter ma baguette chez le boulanger. 
        Et puis il a resurgi derrière le zinc, quand je suis
        allè photographier le départ du Cyclo-club pour son oxygénation
        pédestre. 
        Sa barbe est toujours aussi bien taillée. Elle pique
        comme ces mots tendres et bourrus, enrobés d'un rire gras, qu'il me
        balance à la figure... 
        Tout va donc pour le mieux !