Le dicton est formel : la terre a des limites, la sottise humaine
        n’en a pas. 
        Voilà qui s’illustre aujourd’hui par une profanation au cimetière,
        où des parents (qui souhaitent garder l’anonymat) ont constaté les
        faits suivants sur la tombe de leur enfant, tragiquement disparu en décembre
        dernier : vol d’objets souvenirs, déposés par la famille et les
        camarades, et de vases, après dispersion de la terre et des
        compositions florales. 
        La police municipale enquête et tente de mettre un nom sur cet acte débile
        et abject