Vous l'avouerai-je ? Pris par
        d'autres événements simultanés, je ne suis resté qu'un gros quart
        d'heure à la fin du Carnaval. J'ai donc loupé le défilé.
         Je vous ai quand même capté
        l'essentiel : la crémation du bouc émissaire qui personnifie nos
        calamités. Le réquisitoire est lu par un membre éminent de Parlaren
        (photo à droite). 
        Il n'y a plus grand chose de nouveau
        à dire sur tout ça. C'est à la fois anodin et indispensable. Ça vous
        déjante momentanément la crise ou la campagne électorale. On n'y
        pense plus ! 
        Donc, si insignifiant soit-il,
        touche pas à mon carnaval ! 
        
        Le soir même, à la salle Brassens, un bal
        masqué était proposé par le Conservatoire de musique. 
        
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