Marie-Laure Davezan publie « L’Adieu »

Le récit douloureux d’une sociologue, dopée par la disparition d’un être cher
 

Concert Bras KC  à l'Ile-Vieille

Une guirlande de sourires en bordure du concert de ses potes musiciens qui m'ont "arrangé" cette rencontre... Ils ont bien fait !

• Elle est sociologue, mais aussi une groupie des « Bras KC », sextuor vocal et instrumental, apparu en 2006 dans les milieux scolaires de la région (voir page).
   

• Non pas par enrôlement de potaches musiciens, mais par celui de profs charismatiques qui, l’an dernier, caracolaient au sommet du hit-parade de Zikannuaire (voir page).
   

• Récemment amputés de leur chanteur et parolier emblématique Alain Claisse, les Bras KC se relèvent héroïquement (voir page).  
   

• D’une souffrance à l’autre, la sociologue a croisé les profs-musiciens endoloris. Ils se sont reconnus.
   

• La première se remet d’une rupture amoureuse en publiant « L’Adieu » (Editions Amalthée).
   

• Les seconds se consolent du départ de leur figure de proue et se refont une santé autour d’un nouveau soliste, Patrick Mesnard.

Elle a surgi de la nuit en bordure d’un concert des Bras KC à L’Ile-Vieille. 

• C’est dans ce contexte douloureux, en bordure d’un concert à Mondragon, dans le cadre bucolique de l’Ile-Vieille, que m'est apparue la romancière.
   
• Elle nous livre un récit autobiographique, où la disparition de l’être aimé n’occulte pas sa mission professionnelle qui la penche notamment sur une classe de SEGPA (Section d'enseignement général et professionnel adapté).
   
• C’est-à-dire (je cite) « sur les exclus, les souffrants du système scolaire, de la vie, des ghettos. »
   
• Marie-Laure Davezan ose ce constat courageux. Elle a l’élégance de souffrir après les autres.

Première entrevue furtive...

... à Bollène-la-Croisière (voir page).

Son amour perdu la hante pour mieux appréhender la douleur d’autrui.
Cette étrange alchimie accouche d’un livre court, dense, magnanime.